devant qui la femme peut enlever son voile

Mêmesi l’interprétation fondamentaliste contemporaine veut faire du voile un pilier de l’islam, il faut souligner que la coutume du voile est antécédente à l’islam et n’a rien à voir avec la religion. “Dans la sphère arabe, pendant l’ère antéislamique, les hommes avaient très peu de respect pour la femme. Il s’agissait d’épargner aux femmes une situation de est-ce que une fille voilée peut enlever son voile devant son beau-père ?” Lapparition d’un tel défaut visuel fait tout d’abord penser aux violations du système optique. Dans la plupart des cas, toutefois, ce n'est pas toujours le cas. Ainsi, l'anémie, les maladies du système nerveux central, le diabète peuvent se manifester. Le plus souvent, le voile devant les yeux n'est pas le seul symptôme de la Tags: travail · vie · femme · Question : Une femme vit dans un pays européen et on lui impose comme condition, pour le travail, qu’elle retire son voile, est-il permis de retirer le voile pour la nécessité ? La nécessité ici est le travail en vue de gagner sa vie, car elle peut ne pas trouver de quoi manger si elle ne travaille pas ? Levoile (du latin velum, rideau, tenture) est un vêtement traditionnel ou religieux destiné généralement à masquer tout ou partie du corps et parfois du visage d'une femme.. Présent nonton film my lecturer my husband season 1 lk21. Paroles blessantes et parfois agressions physiques sont le quotidien de certaines musulmanes. Depuis l'interdiction du port du voile intégral dans certaines régions du pays, notamment celles de l'Extrême-Nord, du Littoral, du Nord et de l'Est due aux exactions de la secte terroriste BokoHaram, la population vit dans la psychose et la crainte de la femme voilée. Fusent alors des paroles blessantes, parfois des agressions physiques Je ne m'approcherai plus jamais des femmes qui portent le voile, elles cachent des explosifs à l'intérieur », s’emporte Loïc Fongam, commerçant du marché Mendong à Yaoundé, à la vue d'une femme musulmane voilée de manière simple avec un Hidjab. Très peu font la différence entre le voile intégral et les autres. Devant cet amalgame, des milliers de femmes préfèrent ne plus sortir de leur maison. Hadjaratou Ousmane est de celleslà Je marchais tranquillement dans la rue lorsque deux hommes qui étaient près de moi m'ont agressée en tirant sur mon voile. Ils me l'ont arraché brutalement de la tête et ont dit le gouvernement n'a-t-il pas interdit le port de ces voiles ? Je me suis sentie humiliée, je suis retournée chez moi décidant de ne plus jamais en sortir. » Hawa, elle, s'est rendu compte hier que même les forces de l'ordre ne savent réellement pas ce que c'est que le voile intégral J'étais au commissariat de Bastos hier pour retirer ma carte nationale d'identité lorsque le vigile s'est mis à me fouiller, me demandant d'enlever le pagne que j'avais sur moi. Je me suis sentie très mal mais comme il fallait que je retire ma carte, j'ai dû me plier à ces exigences. Je comprends que cela est fait pour garantir la sécurité des citoyens, mais de là à me mettre nue devant tout le monde, c'est vraiment très humiliant. » Le voile intégral est celui-là qui recouvre la femme musulmane de la tête aux pieds et qui ne laisse voir que ses yeux. Il est de couleur noire en général. Le voile simple ou Hidjab quant à lui ne couvre que la tête des femmes musulmanes. Il n'est pas assez large, on ne peut pas y cacher des explosifs. Pour l'Imam de la mosquée de Bodo, le Cheick Abou Rapah, la femme musulmane observe le voile légal chaque fois qu'elle sort de la maison c'est l'habit islamique que les textes du Saint Coran et les Hadiths du messager d'Allah ont déterminé sans équivoque. La femme musulmane consciente ne fait donc pas partie de cette catégorie de femmes sous habillées que connaît la société moderne, des femmes égarées et déviées de la voie d'Allah » Cette différence est-elle prise en compte ? C'est une atteinte à notre dignité de femmes et nous devons y remédier », exhorte Zeinabou Abdou Rahman. oum assiaLes habituées alhamdoullillahNombre de messages 96Age 52Localisation strasbourgDate d'inscription 07/02/2007Sujet Peut-on retirer le voile a l'ecole ou au travail? Jeu 29 Mar 2007 - 1651 Concernant la femme qui retire son hidjab par contrainte ?... SHEIKH MUHAMMAD IBN SÂLIH AL-'UTHAYMÎNE vendredi 3 octobre 2003, par Ibn Abd Al-Hâdî BismiLLehi ar-Rahmâni ar-RahîmQuestion Il arrive que dans certains pays, les femmes musulmanes puissent être forcées à enlever leur hidjab [voile] et de laisser leurs têtes découvertes. Est-ce qu'il leur est permis de faire cela, tout en sachant que quiconque refuse de faire cela, devra faire face à des conséquences telles que perdre son travail ou être expulsée d'école ? Réponse [du SHeikh Muhammad Ibn Sâlih al-'Uthaymîne ] Ce qui se passe dans ces quelques pays est une des choses par lesquelles la personne peut-être éprouvée. Allâh Ta'âla dit Alif, Lâm, Mîm. Est-ce que les gens pensent qu'on les laissera dire Nous croyons ! » sans les éprouver ? Certes, Nous avons éprouvé ceux qui ont vécu avant eux ; Ainsi Allâh connaît ceux qui disent la vérité et ceux qui mentent. »[1] Ce que je pense est que ces femmes musulmanes dans ces pays, devraient refuser d'obéir aux gens responsables [souverains] dans ce qui est mauvais, parce qu'obéir à ceux qui détiennent l'autorité dans ce qui est mal n'est pas permis. Allâh Ta'âla dit O vous les croyants ! Obéissez à Allâh, et obéissez au Messager et à ceux d'entre vous qui détiennent le commandement »[2] Si vous réfléchissez au sens de la signification de ce verset, vous noterez qu'Allâh dit Obéissez à Allâh, et obéissez au Messager et à ceux d'entre vous qui détiennent le commandement » et le verbe obéissez » n'est pas répété dans le troisième cas quant à ceux qui détiennent le commandement. Cela indique que l'obéissance à ceux qui détiennent le commandement est secondaire à l'obéissance à Allâh et à l'obéissance à Son Messager. Si leur ordre est contraire à l'obéissance à Allâh et Son Messager, alors ils ne devraient pas être écoutés et il ne doit pas y avoir d'obéissance dans ce qui contredit l'obéissance à Allâh et à Son Messager. Il n'y a pas d'obéissance à une créature dans la désobéissance au Créateur. » Le malheur que la femme peut rencontrer dans ce type de situation, est quelque chose qu'elle se doit de vivre avec patience, et elle devrait chercher le secours auprès d'Allâh Ta'âla dans la patience. Nous demandons à Allâh qu'Il guide leurs gouvernants dans la vérité. Je ne pense pas qu'on puisse forcer une femme à ne pas porter le hidjab, à moins que celle-ci quitte sa maison, mais si elle reste à la maison, personne ne pourra la forcer [à retirer son hidjab], donc qu'elle fasse son possible pour rester chez elle jusqu'à ce qu'elle soit en paix face à cet ordre. Quant au études qui la mèneront à commettre ce péché, cela n'est pas permis, elle devrait plutôt étudier ce dont elle a le plus besoin pour ce qui est de ses intérêts religieux et de sa vie ici- bas. Cela est suffisant et peut être généralement fait à la maison. [3]Source Je me promenais dans un parc, les cheveux découverts pour la première fois depuis près de 20 ans. Mes oreilles étaient toutes rouges. Je m'étais préparée mentalement avant de quitter la maison, anticipant la sensation du vent qui allait souffler dans mes cheveux, les mèches caressant mes joues. Mais ce qui m'a le plus marqué ce jour-là, c'est cette sensation inhabituelle de picotement que j'ai ressenti sur mes oreilles, surprises par l'air frais de y a beaucoup de choses que j’aurais dû prévoir lorsque j’ai pris la décision d’enlever mon voile il y a deux ans comme le froid sur mes oreilles rouges ce matin-là, et pourtant, j’ai été prise au commencé à porter le hijab à l'âge de 10 ans et je l'ai retiré à 28. J'ai flirté avec l'idée de longs mois avant de me décider. Et quand je l'ai fait, ce n'était pas exactement une occasion heureuse pour moi. J'avais l'impression d'être dans une impasse dans ma vie spirituelle et je devais accepter la dure réalité, à savoir que mon hijab n'avait plus la même importance pour moi. Je n'étais pas moins musulmane, mais je ne comptais simplement plus sur ce voile pour m'aider à me sentir proche de pendant 18 ans, j'ai passé chaque matin devant le miroir, épinglant mon hijab avant de quitter la maison. Certains jours, le tissu se laissait faire, et cela ne me prenait que deux ou trois minutes. D'autres jours, il refusait de coopérer et pendait maladroitement ou glissait sur ma tête. Je soufflais alors de frustration en serrant la mâchoire si fort que je m'en donnais des j'ai décidé d'arrêter de porter le hijab, je ne savais pas combien ce rituel quotidien sacré, parfois exaspérant, allait me manquer. Ce geste simple était une forme de culte, une prière silencieuse, un engagement intime envers moi-même, comme une seconde peau. Pendant les premiers mois, je me sentais nue en quittant la maison. Aujourd'hui encore, deux ans plus tard, il m'arrive d'oublier et de paniquer quand je suis dehors avant de réaliser que je ne le porte plus, ce voile qui continue de me hanter.“Ce que je n'avais pas anticipé, ce sont les éloges, les tapes dans le dos et les nombreuses félicitations pour mon "courage", ni la façon dont ces réactions allaient me déconcerter.”Mais la perte de cette routine n'est pas la seule chose à laquelle j'ai dû m'habituer. Mes interactions ont aussi beaucoup changé. Il y a des choses auxquelles je m'attendais et d'autres non. Je me souviens de la première fois où quelqu'un m'a félicitée, m'a dit que j'étais "courageuse" d'avoir retiré mon voile. Et puis la deuxième fois, et la troisième. Je m'étais préparée à répondre à des questions sur ma santé spirituelle et religieuse. J'étais même préparé au jugement, au claquement de langues de désapprobation des gens de ma communauté qui allaient supposer que si je faisais ça, c'était juste pour pécher en paix. Ce que je n'avais pas anticipé, en revanche, ce sont les éloges, les tapes dans le dos et les félicitations pour ce fameux courage, ni à quel point ces réactions allaient me blesser. J'aurais peut-être dû y mois après avoir enlevé mon hijab, je suis allée prendre un café avec mon ancienne cheffe - une femme qui m'avait donné ma chance dans l'industrie des médias - et une autre collègue. Quand elles m'ont vue, mes boucles remplaçant le hijab de couleur neutre qu'elles avaient l'habitude de voir, elles ont toutes les deux crié et agrippé mes épaules."Oh mon Dieu, tu es trop belle ! Pourquoi tu nous cachais ça ?!"J'ai ri - par surprise - ne sachant pas trop comment répondre à ce commentaire. Est-ce que j'étais moche avant ? Cette pensée m'a fait rire encore plus fort."C'est génial, je suis tellement fière de toi", m'a dit mon ancienne patronne, en me serrant dans ses bras. Je l'ai regardé avec perplexité et mon visage s'est mis à chauffer. Fière de moi ? Pourquoi ? Les deux femmes ont passé leurs doigts dans mes cheveux alors que je me tenais là, à mi-chemin entre la colère et la gêne. Leur admiration en disait long sur la femme qu'elles pensaient que j'étais lorsque je portais le avec le temps cette expérience s'est renouvelée. Encore et encore. Pour ces personnes, j'étais une toute nouvelle femme - plus courageuse, plus audacieuse et plus libre. Mais en réalité, je suis toujours la même personne, simplement sans hijab. Je n'avais pas peur avant, et je ne suis pas plus libre maintenant. Je ne suis pas du genre à rougir devant les éloges, quand c'est mérité. Ce n'est tout simplement pas le cas près de vingt ans, mon hijab a été une partie intégrante de mon identité. Le porter m'a appris une leçon importante sur la façon de me comporter dans le monde - plus précisément, il m'a appris la signification du mot "courage". J'ai dû marcher en gardant la tête haute et l'esprit toujours en alerte. J'ai appris à la dure à choisir les micro-agressions auxquelles je voulais répondre après m'être épuisée à vouloir toutes les confronter. J'ai également dû faire face à un monde de plus en plus islamophobe, en étant une femme visiblement musulmane, ce qui demande beaucoup plus de courage que de sortir les boucles au vent.“Pendant près de vingt ans, mon hijab a été une partie intégrante de mon identité. Le porter m'a appris une leçon importante sur la façon de me comporter dans le monde - plus précisément, il m'a appris la signification du mot "courage".”J'ai également dû faire face à ma propre culpabilité, au sentiment d'avoir abandonné ma communauté en enlevant mon hijab. Lorsqu'en 2019, un homme armé de 28 ans avait pénétré dans deux mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, tuant 51 personnes et en blessant 40 autres, ma culpabilité a enflé au point de me rendre malade. À l'époque, mon chagrin m'a presque poussée à remettre le voile, un moyen désespéré de m'absoudre de la honte irrationnelle que je m'a souvent demandé si j'étais forcée de porter le hijab. J'ai appris à encaisser la question, à faire de mon mieux pour ne pas rouler des yeux, et à répondre poliment une réponse répétée plus de fois que je ne peux compter "Non, bien sûr que non. C'est mon choix". La personne souriait en retour, cordialement, mais je décelais parfois dans leur expression un soupçon d'incrédulité. Peu importe ce que je leur disais de mon expérience, certains stéréotypes sont trop profondément encrés pour qu'on me croit sur parole. Parfois, ils m'affichaient ce sourire familier, les lèvres serrées, en me regardant, le cou rentré, la tête légèrement penchée d'un côté en signe de depuis que j'ai arrêté de porter le voile, je suis confrontée à un tout autre type de sourire, un sourire d'admiration. Et je ne sais pas lequel est le pire. Le vendredi 11 octobre 2019, lors du conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, une femme, qui accompagne des enfants en sortie scolaire, est publiquement sommée de sortir. La raison ? L'homme politique, qui n'a pas manqué de faire filmer la scène, lui reproche le port de son voile. Cette affaire, qui a fait le tour de la Toile, a réveillé un débat ancien de plusieurs années le port du voile islamique en France. Retour sur une polémique qui secoue le pays. Le voile islamique, c'est quoi ? Le voile islamique, ou hijab, portée par certaines musulmanes, leur couvre la tête tout en laissant le visage apparent. On ne peut donc pas parler ici de "voile intégral". Le terme "hijab" est un dérivé de "hadjaba" qui signifie en arabe "dérober au regard". Par définition, le voile, ou hijab, est censé couvrir pour protéger ou pour cacher, mais ne sépare pas. Le voile permettrait donc de cacher les atours féminins, ici les cheveux, afin de ne pas attirer le regard des hommes. Cette interprétation ne figure pourtant pas dans le Coran, qui insiste davantage sur l'exigence de modestie dans la toilette de la femme. Pour d'autres femmes, le voile islamique peut aussi servir de marqueur identitaire de l'appartenance à une religion ou à une culture. En France, le voile fait débat depuis des années il est considéré par certains comme "un asservissement pour la femme". Un mode de pensée jugé islamophobe pour d'autres. Hijab, burqa, niqab... Quelles différences ? Alors que le hijab, autorisé en France, ne cache que les cheveux, les oreilles et le cou, la burqa et le niqab couvrent l'intégralité de la tête et du corps. Avec la burqa, un grillage dissimule les yeux. le niqab laisse, quant à lui, apparaître les yeux grâce à une fente. Ces deux tenues sont interdites en France car elles dissimulent le visage. Que dit la loi sur le voile islamique en France aujourd'hui ? Si le voile islamique ou hijab, contrairement à la burqa et le niqab, est autorisé en France, il reste tout de même interdit à ceux qui exercent une mission de service public, comme les fonctionnaires de l'Etat et des collectivités territoriales, les agents SNCF ou de la CPAM. Ils ont, en effet, un devoir de neutralité. Cela s'applique au voile islamique, mais aussi à tout signe religieux comme la kippa chez les juifs ou encore le port d'une croix chez les catholiques. Ce principe de neutralité et de laïcité n'est, en revanche, pas applicable chez les usagers des services publics, ni aux salariés dans les entreprises qui relèvent du Code du travail. Au contraire, la liberté religieuse est posée comme un principe fondamental, tant qu'elle n'entraîne pas de troubles dans la société. Mais en fonction de la nature de l'activité de l'entreprise, le règlement intérieur peut imposer certaines restrictions en matière de signes religieux, en inscrivant le principe de neutralité par exemple. Enfin, la loi de 2004 interdit le port de signes religieux ostensibles aux élèves dans les écoles, les collèges et lycées publics. À l’université, en revanche, les étudiants ont la liberté de porter des signes religieux s’ils le désirent, car ils sont majeurs et ont déjà acquis leurs propres opinions. Le voile en France des débats de 1989 à nos jours Les débats sur le voile islamique commencent dès la fin des années 1980. Depuis, la question ressurgit régulièrement dans le débat public. En 1989, 3 adolescentes sont exclues de leur collège, à Creil pour port du voile. Cette affaire fait partie des premières controverses les plus marquantes. Entre les années 1990 et les années 2000, plus d'une cinquantaine de jeunes filles sont ainsi exclues de leurs établissements. C'est en 2004 que la loi interdit les signes religieux ostensibles à l'école publique. Une entrée en vigueur qui crée une vive polémique dans tout le pays. En 2010, l'académie de Toulouse licencie une enseignante stagiaire qui refusait de retirer son voile pour faire la classe en primaire. En 2010, à Nantes, une femme au volant portant le niqab pas encore interdit à cette époque écope d'une amende de 22 euros pour "circulation dans des conditions non aisées". Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux tente de remettre en cause la nationalité de son mari, accusé de polygamie. C'est en octobre 2010 que la loi interdit le port du voile intégral dans l'espace public entre en vigueur. Après l'entrée en vigueur de cette loi, 300 femmes portant le voile intégral sont verbalisées. En 2012, une circulaire de Luc Chatel, ministre de l'Education nationale de l'époque, fait polémique elle demande aux mères accompagnatrices de sorties scolaires de ne pas porter de signe religieux ostentatoire. Mais en 2013 le Conseil d'Etat ne valide pas le texte en tant que "collaborateurs occasionnels", les accompagnants ne sont pas soumis à la neutralité religieuse imposée par les enseignants. En 2013, un contrôle mouvementé d'une femme intégralement voilée à Trappes crée la polémique. Les affrontements entre habitants et policiers durent 3 nuits. D'autres contrôles dégénèrent à Marseille, Nice ou encore Argenteuil. En 2014, après six ans de procédure, la cour de cassation valide définitivement le licenciement d'une employée de la crèche privée Baby-Loup de Chanteloup-les-Vignes. Elle refusait d'enlever son voile. 11 octobre 2019 une affaire qui relance les débats Le 11 octobre, la polémique reprend quand un élu RN, Julien Odoul, prend à partie, en public, une mère voilée accompagnant la classe de son fils à une séance du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté. Il exige de cette mère de famille qu'elle retire son voile “au nom de nos principes laïcs”. Pourtant, d'après la loi, cette femme n'a pas enfreint les règles de la République. La scène, partagée sur les réseaux sociaux par Julien Odoul lui-même défraie la chronique et relance le débat sur le voile islamique, notamment concernant les mères accompagnatrices des sorties scolaires. Cette femme de 35 ans, qui s'est retrouvée, malgré elle, au coeur d'une polémique, a confié au Collectif contre l'islamophobie "avoir peur de tout" et s'inquiète pour la suite. "Franchement, j’étais là sans être là. La seule chose que j’ai vue, c’était la détresse des enfants. Ils étaient vraiment choqués et traumatisés”. Fatima E. “Quand j’ai vu mon fils en train de craquer, je leur ai dit que je ne pourrai plus rester. J’avais aussi besoin de me retrouver toute seule. Je tremblais de la tête aux pieds et je me sentais en train de tomber. Je ne voulais pas craquer devant les enfants, donc je suis sortie. ... Sincèrement, ils ont détruit ma vie.” Fatima E. Ce mercredi, la mère de famille a annoncé, via son avocate, qu'elle allait porter plainte contre l'élu régional RN Julien Odoul "Il s'agit d'une plainte pour violences en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique sur mineur et majeur à caractère raciales", déposée auprès du parquet de Dijon, annonce son conseil. Me Sana Ben Hadj Younes, avocate Une autre plainte pour "incitation à la haine" doit être déposée dans les prochains jours auprès du parquet de Paris, affirme Me Sana Ben Hadj Younes. Alors que, depuis cette dernière affaire, la classe politique s'embrase sur le sujet du voile islamique, des pompiers de la caserne de Creil ont refusé, ce lundi 14 octobre, une visite scolaire au motif que deux accompagnatrices, mères d'élèves, portaient un voile. Depuis, les pompiers de l'Oise se sont excusés oralement auprès des accompagnatrices. Et pour les enfants, une nouvelle visite doit être rapidement organisée. Des débats qui agitent le monde médiatique et politique Depuis le 11 octobre, la question du port du voile dans l’espace public est de nouveau au centre des débats, notamment dans les médias, qui ont consacré de nombreuses unes au sujet et multiplié les débats sur les chaînes d'information en continu. Une du Parisien le mercredi 16 octobre Trente ans après, la question du voile "divise toujours", d'après Le Parisien, qui relève que le débat agite et divise aussi le gouvernement. Pour L’Opinion, la majorité cherche à "garder la tête froide pour éviter toute stigmatisation des musulmans", sans toutefois parvenir à échapper à cette énième polémique. Le dessinateur Kak accuse le député RN Julien Odoul d’agiter le voile comme un chiffon rouge, pour provoquer les esprits. Le Monde, quant à lui, a offert une tribune à 90 personnalités, parmi lesquelles Omar Sy, Céline Sciamma ou Christine Delphy, qui demandent à Emmanuel Macron de condamner l'agression de l'accompagnatrice scolaire voilée. Côté télé, entre le 11 et le 17 octobre, Checknews a recensé "pas moins de 85 débats sur ce seul sujet" sur LCI, CNews, Franceinfo et BFMTV. Au total, il y a eu 286 interventions sur ce thème, la palme revenant à TF1, qui a organisé pas moins de 42 débats sur le port du voile ces cinq derniers jours, pour 149 interventions. En plus des médias, l'affaire a évidemment suscité de vives réactions du côté des politiques, faisant ressortir les scissions entre gauche et droite. "Une Maman est une accompagnatrice. Elle n'exerce aucune influence sur les contenus d'enseignement et n’est pas soumise au principe de neutralité. La rejeter, c'est laisser penser qu'elle n'a pas sa place au sein de la République et prendre le risque du repli communautaire", a ainsi dénoncé le secrétaire général du parti socialiste sur Twitter. "On a une tentative d’élaborer des lois d’exception qui ne viseraient qu’une seule religion", s'est agacé mardi sur Europe 1 le député insoumis Adrien Quatennens. À droite, c'est Eric Ciotti, le député LR des Alpes-Maritimes qui a été l'un des plus vindicatifs sur le sujet, dénonçant la multiplication des "revendications territoriales et vestimentaires" au sein de la communauté musulmane. "On a été trop naïf, on a laissé passer trop de choses, en disant qu'il ne faut pas créer de tensions. On a baissé le regard, on a baissé les yeux. On voit que la montée du communautarisme, que traduisent souvent ces 'signaux faibles', commence à irriguer notre société. Il faut arrêter ça", a-t-il déclaré sur BFMTV. Plusieurs élus LR sont même allés plus loin, souhaitant l'interdiction du voile dans tout espace public. Brice Hortefeux, Nadine Morano et Christian Estrosi se sont ainsi successivement montrés favorables à une proposition emblématique du Rassemblement national RN, rapporte Le HuffPost. Pour l'ancien ministre de l'Intérieur de Nicolas Sarkozy, "il faut se poser la question de l’interdiction de tout signe distinctif dans les espaces publics". L'eurodéputée LR, elle, est plus directe et se dit "favorable à l’interdiction du port du voile dans l’espace public". Le maire de Nice estime, quant à lui, que "le port du voile de manière ostentatoire dans l'espace public doit être interdit". Et la majorité présidentielle dans tout ça ? La position du gouvernement est loin d'être claire, et surtout pas unie. L'affaire a créé une scission au sein du gouvernement, certains comme le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer se sont publiquement prononcés contre. "Le voile n’était pas souhaitable" dans notre société, a déclaré ce dernier, affirmant défendre une "position républicaine" face aux nombreuses critiques. "Je serai toujours avec ma colonne vertébrale sur ces questions-là. Je ne me laisserai pas impressionner par des gens qui défendent des thèses communautaristes", a affirmé le ministre de l’Education nationale qui se revendique "dans la ligne de Jules Ferry et de Jean Zay". Une position partagée par la porte-parole LREM Aurore Bergé. Interrogée sur la proposition de loi du député Les Républicains LR Eric Ciotti d'interdire le voile aux mères de famille lors des sorties scolaires, la députée LREM a répondu sur LCP qu'elle soutiendrait le vote. Sa position avait alors entraîné lune levée de boucliers de plusieurs collègues députés, qui se sont désolidarisés en créant dans la foulée le hashtag NotInMyName PasEnMonNom, utilisé en 2015 par les membres de la communauté musulmane pour dénoncer les crimes commis par l'organisation État Islamique. Les propos de Jean-Michel Blanquer ont de leur côté fait réagir le député LREM Aurélien Taché dans une interview au Point. "Je regrette d'entendre Jean-Michel Blanquer dire que la loi protège le droit de ces accompagnatrices à participer aux sorties scolaires - comme l'a rappelé plusieurs fois la justice - et, dans le même temps, dire qu'elles feraient mieux d'enlever le voile", dénonce-t-il. "Faisons bloc et ne nous divisons pas" Emmanuel Macron Si les députés sont divisés sur la question, du côté de l'exécutif le message est clair non à la stigmatisation des musulmans. Un message martelé mercredi par Emmanuel Macron, qui a tardé à prendre position. "Faisons bloc et ne nous divisons pas pour lutter d'abord et avant tout contre la radicalisation dans notre société, oeuvrons pour que la République soit partout", a déclaré le chef de l'État, tout en appelant à "être intraitable avec le communautarisme". Avant lui, son Premier ministre Edouard Philippe s'était lui aussi montré très ferme. "Je ne pense pas que l'enjeu aujourd'hui, ce soit de faire une loi sur les accompagnants scolaires", a déclaré Edouard Philippe, mardi, à l'Assemblée nationale. "On peut porter un voile quand on accompagne une sortie scolaire mais on n'a pas le droit de faire de prosélytisme. Voilà l'état du droit", a-t-il rappelé, estimant que "l'enjeu, c'est de combattre efficacement et avec le soutien de l'ensemble de nos concitoyens les dérives communautaires". 1 quant aux femmes atteintes par la ménopause qui n'espèrent plus le mariage, nul reproche à elles d'enlever leurs vêtements de [sortie], sans cependant exhiber leurs atours et si elle cherchent la chasteté c'est mieux pour elles. Allah est Audient et Omniscient. à la lecture de se verset on peut penser qu'une femme qui à dépasser un certaine age peut retirer son voilepour les sunnite en générale ou son "khimar" ou ce qui lui sert pour couvrir sa poitrinepour les coraniste. qu'en pensez vous???? 2 quant aux femmes atteintes par la ménopause qui n'espèrent plus le mariage, nul reproche à elles d'enlever leurs vêtements de [sortie], sans cependant exhiber leurs atours et si elle cherchent la chasteté c'est mieux pour elles. Allah est Audient et Omniscient. à la lecture de se verset on peut penser qu'une femme qui à dépasser un certaine age peut retirer son voilepour les sunnite en générale ou son "khimar" ou ce qui lui sert pour couvrir sa poitrinepour les coraniste. qu'en pensez vous???? Ouais, quand elles sont vieilles, elles ne sont plus trop désirables, donc pas trop de risque qu'elles soient désirées par des hommes. Ceci dit, elles doivent tout de même se méfier des gérontophiles. 3 quant aux femmes atteintes par la ménopause qui n'espèrent plus le mariage, nul reproche à elles d'enlever leurs vêtements de [sortie], sans cependant exhiber leurs atours et si elle cherchent la chasteté c'est mieux pour elles. Allah est Audient et Omniscient. à la lecture de se verset on peut penser qu'une femme qui à dépasser un certaine age peut retirer son voilepour les sunnite en générale ou son "khimar" ou ce qui lui sert pour couvrir sa poitrinepour les coraniste. qu'en pensez vous???? c quoi la reference du verset ? 4 c quoi la reference du verset ? sourate 24................................................... 5 Ouais, quand elles sont vieilles, elles ne sont plus trop désirables, donc pas trop de risque qu'elles soient désirées par des hommes. Ceci dit, elles doivent tout de même se méfier des gérontophiles. oui, mais le verset à surement une portée général. 6 Salam aleikoum c'est l'interprétation courante, elles peuvent enlever leur voile puisque c'est l'habit de sortie, car chez elles, elle ne le portent pas, elles ne le mettent que pour sortir. Et puisqu'elle ne doivent pas montrer leurs atours, elle doivent bien couvrir leurs formes malgré tout, ne pas montrer leur poitrine etc. Drianke اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب 7 Les femmes quinqua comme Madonna sont tout aussi désirables que leurs maris quinqua avec leurs grosses bedaines et leur calvitie! Ouais, quand elles sont vieilles, elles ne sont plus trop désirables, donc pas trop de risque qu'elles soient désirées par des hommes. Ceci dit, elles doivent tout de même se méfier des gérontophiles. 8 Salam aleikoum c'est l'interprétation courante, elles peuvent enlever leur voile puisque c'est l'habit de sortie, car chez elles, elle ne le portent pas, elles ne le mettent que pour sortir. Et puisqu'elle ne doivent pas montrer leurs atours, elle doivent bien couvrir leurs formes malgré tout, ne pas montrer leur poitrine etc. il n'est pas dit cacher mais exhiber les atours......sa change le sens, non???? 9 Salam aleikoum c'est l'interprétation courante, elles peuvent enlever leur voile puisque c'est l'habit de sortie, car chez elles, elle ne le portent pas, elles ne le mettent que pour sortir. Et puisqu'elle ne doivent pas montrer leurs atours, elle doivent bien couvrir leurs formes malgré tout, ne pas montrer leur poitrine etc. tu peux reexplique ton point de vue j'ai rien compris desole merci 10 il n'est pas dit cacher mais exhiber les atours......sa change le sens, non???? exhiber c'est montrer exprès des formes. Le fait de mettre un décoleté par exemple, c'est fait exprès pour montrer les forme, donc à ne pas mettre, on met autre chose qui couvre. 11 exhiber c'est montrer exprès des formes. Le fait de mettre un décoleté par exemple, c'est fait exprès pour montrer les forme, donc à ne pas mettre, on met autre chose qui couvre. ya une enorme nuance entre demander a qq'un de cacher ses formes , et d'un autre coté demander de ne pas exbiber ses formes 12 Salam aleikoum c'est l'interprétation courante, elles peuvent enlever leur voile puisque c'est l'habit de sortie, car chez elles, elle ne le portent pas, elles ne le mettent que pour sortir. Et puisqu'elle ne doivent pas montrer leurs atours, elle doivent bien couvrir leurs formes malgré tout, ne pas montrer leur poitrine etc. intéréssant ... les atours sont donc les éléments commes la poitrine les formes ect ? alors pourquoi dans ce cas pour le port du voile ça n'est plus la poitrine ect , mais les cheveux ? le mots "atours" et le meme en arabe dans ce verset et dans celui qui justifie le port du voile ? 13 ya une enorme nuance entre demander a qq'un de cacher ses formes , et d'un autre coté demander de ne pas exbiber ses formes oui ya nuance biensur. Mas si on exibe pas, on ne va donc pas les mettre en valeur ni en avant pour que les autres les voit, et donc on s'habillera pudiquement, c'est ça que le verset exprime, il faut garder la pudeur, c'est meme mis après que si elles cherchent la chasteté c'est mieux, quand on cherche a être chaste on ne montre pas ses formes, on reste pudique. 14 oui ya nuance biensur. Mas si on exibe pas, on ne va donc pas les mettre en valeur ni en avant pour que les autres les voit, et donc on s'habillera pudiquement, c'est ça que le verset exprime, il faut garder la pudeur, c'est meme mis après que si elles cherchent la chasteté c'est mieux, quand on cherche a être chaste on ne montre pas ses formes, on reste pudique. oui, mais les atours ne sont pas les formes, mais plutot les bijoux 15 intéréssant ... les atours sont donc les éléments commes la poitrine les formes ect ? alors pourquoi dans ce cas pour le port du voile ça n'est plus la poitrine ect , mais les cheveux ? le mots "atours" et le meme en arabe dans ce verset et dans celui qui justifie le port du voile ? Une femme qui porte le voile doit aussi cacher ses formes afin de ne pas être désirable. Donc il faut à la fois cacher ses cheveux et ses formes. A la lecture de ce verset, une femme ménopausée peut retirer le voile et porter des vêtements "normaux" qui n'exhibent pas ses formes. Je ne pense pas qu'elle soit obligée de cacher ses formes, elle ne doit juste pas les souligner donc les exhiber 16 intéréssant ... les atours sont donc les éléments commes la poitrine les formes ect ? alors pourquoi dans ce cas pour le port du voile ça n'est plus la poitrine ect , mais les cheveux ? le mots "atours" et le meme en arabe dans ce verset et dans celui qui justifie le port du voile ? si on part du principe que le voile doit etre mis sur la poitrine uniquement, et qu'a la ménaupause on peut enlever cet habit de sorti, donc on peut montrer ses seins? non biensur, donc il s'agit d'un autre habit qu'on peut retirer lors des sorties, et pour moi il ne peut s'agir que du voile de la tete pour ta dernière question, je ne sais pas. 17 oui, mais les atours ne sont pas les formes, mais plutot les bijoux ok lol je n'ai pas la meme compréhension que toi 18 Une femme qui porte le voile doit aussi cacher ses formes afin de ne pas être désirable. Donc il faut à la fois cacher ses cheveux et ses formes. Donc, le voile, c'est une question de désir, pas de pudeur. 19 si on part du principe que le voile doit etre mis sur la poitrine uniquement, et qu'a la ménaupause on peut enlever cet habit de sorti, donc on peut montrer ses seins? non biensur, donc il s'agit d'un autre habit qu'on peut retirer lors des sorties, et pour moi il ne peut s'agir que du voile de la tete pour ta dernière question, je ne sais pas. non, en dessous de son khimar, donc son foulard qui cache la forme de sa poitrine, elle à des vetements, tu vois??? 20 intéréssant ... les atours sont donc les éléments commes la poitrine les formes ect ? alors pourquoi dans ce cas pour le port du voile ça n'est plus la poitrine ect , mais les cheveux ? le mots "atours" et le meme en arabe dans ce verset et dans celui qui justifie le port du voile ? Oui c'est le même mot dans la version originale z&299;na Cela désigne les bijoux et non pas des attributs féminins. 21 Donc, le voile, c'est une question de désir, pas de pudeur. la pudeur n'est elle pas de faire tout pour ne pas provoquer le désire ? 22 Oui c'est le même mot dans la version originale z&299;na Cela désigne les bijoux et non pas des attributs féminins. merci , c'est bien ce qui me semblait en lisant le verset en francais . 24 ton explication rejoint ce que j'en avait compris . 25 la pudeur n'est elle pas de faire tout pour ne pas provoquer le désire ? Oui, les deux sont forcément liés. La pudeur c'est la volonté d'être désiré le moins possible. Je ne pense pas que la pudeur soit due à la personne mais plutôt au regard des autres 26 Oui, les deux sont forcément liés. La pudeur c'est la volonté d'être désiré le moins possible. Je ne pense pas que la pudeur soit due à la personne mais plutôt au regard des autres est ce qu'un femme qui ne porte pas le voile est non pudique 27 Oui, les deux sont forcément liés. La pudeur c'est la volonté d'être désiré le moins possible. Je ne pense pas que la pudeur soit due à la personne mais plutôt au regard des autres La pudeur est surtout une manière de faire passer l'individu avant le/la potentielle partenaire sexuelle. est ce qu'un femme qui ne porte pas le voile est non pudique C'est une notion très relative. Qui décide des limites de la pudeur? 28 La pudeur est surtout une manière de faire passer l'individu avant le/la potentielle partenaire sexuelle. C'est beaucoup plus vaste à mon sens. 29 est ce qu'un femme qui ne porte pas le voile est non pudique Disons qu'on pourrait dire qu'elle est moins pudique qu'une femme qui porterait le voile mais comme le dit abderahmane, c'est relatif. 30 C'est beaucoup plus vaste à mon sens. Bien entendu. Mais c'est le rôle universel du vêtement en tout cas. 31 quant aux femmes atteintes par la ménopause qui n'espèrent plus le mariage, nul reproche à elles d'enlever leurs vêtements de [sortie], sans cependant exhiber leurs atours et si elle cherchent la chasteté c'est mieux pour elles. Allah est Audient et Omniscient. à la lecture de se verset on peut penser qu'une femme qui à dépasser un certaine age peut retirer son voilepour les sunnite en générale ou son "khimar" ou ce qui lui sert pour couvrir sa poitrinepour les coraniste. qu'en pensez vous???? La ménopause cause des bouffées de chaleurs chez les femmes..,c'est peut étre l'une des raisons

devant qui la femme peut enlever son voile